lundi 12 novembre 2012


Bêta se sent bêta.
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Le vendredi 9 novembre, la soirée de lectures/concerts a rassemblé 53 personnes. Pour nous, minuscule, ce n'est pas rien. Nous vous remercions tous, le Fiacre avec (dont la salle du bas est un bateau). Nous remercions nos amis et les inconnus qui sont venus découvrir notre démarche. Nous remercions les lecteurs, musiciens et auteurs, pour la diction, l'intensité bruitiste et portée, la langue brute. Nous espérons organiser des choses comme celles-ci plus souvent. Et c'est grâce à vous. Il y aura bientôt des souvenirs visibles de cette soirée (vidéo/photos). 

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Nous remercions Marianne Desroziers et son Pandémonium Littéraire pour sa chronique du livre rose de Lucile Poulain. En espérant que d'autres suivront.

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Nous joignons à ce communiqué le programme court de l'appel à contribution pour la revue Fuites 2. A paraître en avril prochain.

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Rien. Rien. La façon dont les choses tournent. Rien. Sans bruit. Situations instables cernées avec ou sans vitesse. Tu dérailles. Et langue suivra. Pas illuminé fardé mais tes outils à vifs. Un pas en dedans.


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