mercredi 17 juillet 2013


Bêta souffle un peu parce que l'été. Bêta souffle un peu parce que Fuites 2 est dehors et que Lieu-Dit est passé. Nous remercions Lieu-Dit, les nouveaux copains, les copains des copains, les membres de Bêta temporaires supplémentaires (n°4, n°5, n°6, n°7, n°8) et les auteurs de la revue, encore et encore.

Pendant Lieu-Dit, Bêta a collé des trucs sur les murs, amené des livres pauvres, discuté beaucoup, lu, invité des proches à lire (sans bruits ou avec) des textes de la revue, diffusé en plein-air Le goût de la cerise & Massacre à la Tronçonneuse mais a arrêté à 4h30 parce que nous prenions le jus au bout des doigts. Ce fut une allégresse tout du long grâce à tout le monde. On trouve des photographies sur notre facebook et sur le site de l'organisation. 

Fuites 2 est sur le rien, il y a une page sur le côté droit du site pour y voir de plus près. Fuites 2 est faite à la main. Bêta, en plus de préparer divers projets pour la rentrée, va doucement entamer sa recherche de librairies-amies. Si jamais des gens passent par ici et ont des idées : envoyez-nous un mail.

Vous pouvez vous procurer la revue en nous contactant ou via paypal (mais c'est nous qui faisons le colis dans tous les cas).

Pour le reste, on est vivant, mais silencieusement.

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Nous sommes minuscules, ridicules peut-être même. Autant de suffixes qu’on peut trouver, dérivés du « culus » grec, signifiant l’insignifiance. Du grec nous avons aussi la lettre : Bêta. 
Comme Mr Ramsay dans To the lignthouse, qui compare le cheminement intellectuel au parcours de l’alphabet. De lettre en lettre, nous en somme à la lettre B. Nous nous accrochons à celle-ci comme Ramsay à son « R ». Mais plutôt que de parcourir l’ensemble de l’alphabet, nous avons choisi notre lettre, et notre alphabet. 



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